Témoignage

« Pourquoi TEMA ? Pour son côté créatif mêlé à l’apprentissage du management »

Proposé par NEOMA BS

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Par L'Etudiant Fab, publié le 08 juin 2023
4 min

Conçu pour susciter l’esprit créatif de chaque étudiant, le programme TEMA, proposé en cinq ans par NEOMA Business School à Reims, Rouen et Paris, allie management digital et innovation. Entretien avec Juliette Letreulle, actuellement en première année.

Pourquoi avoir choisi TEMA après l’obtention de votre baccalauréat ?

Je viens d’un bac scientifique, options Maths et SVT, mais je ne me voyais pas faire des sciences toute ma vie. Le management me tentait bien. Je savais que je voulais intégrer une filière avec de la créativité, mêlant commerce et management. C’est lors d’une journée portes ouvertes que j’ai découvert le programme TEMA. Il remplissait tous mes critères : le côté créatif mêlé à l’apprentissage du management.

Comment avez-vous vécu la transition entre le monde du lycée et celui d’une grande école de commerce ?

Les premiers mots qui me viennent à l’esprit sont : autonomie et liberté. Au lycée, on a l’habitude d’avoir des professeurs derrière nous. Avec TEMA, dès la première année, on apprend très vite à travailler en groupe. De plus, nous avons du temps pour réaliser des projets, avoir des activités. Pour ma part, je prends des cours de japonais. Je vis hyper-bien cette transition, car je me sens beaucoup mieux dans le monde de l’enseignement supérieur.

« Énormément de pratique et de projets en équipe »

TEMA est un cursus connu pour allier management, tech/digital et créativité. Quels en sont ses atouts, selon vous ?

Le premier atout de TEMA, c’est la pédagogie en learning by doing. On fait énormément de pratique et de projets en équipe. Par groupes de trois, maximum six, on travaille tout au long de l’année sur des projets, avec des matières qui changent chaque semestre. Pour le partiel de marketing, par exemple, on a dû réaliser une étude de marché autour d’une marque de gel douche. On apprend à gérer une équipe, à faire face aux problèmes. Dans notre introduction au numérique, on apprend à coder en html, à se servir d’un hébergeur pour créer un site web. Nous sommes formés à la suite Adobe, au Data Warehouse.

En deuxième année, un semestre d’immersion est à réaliser dans l’une des écoles partenaires de NEOMA en ingénierie, code, design, mode ou encore communication. Une étape clé du programme, selon vous ?

Complètement. Pour ma part, j’irai six mois chez Intuit Lab, une école de design qui forme chaque année des directrices artistiques et des profils polyvalents. Si demain je travaille dans le design et le digital, suivre cette formation me donnera des compétences supplémentaires pour me démarquer. Ce sera un bagage en plus que je pourrai exploiter lors d’un stage ou d’une alternance.

En quoi ces compétences multiples favorisent-elles votre employabilité ?

Nos compétences hybrides répondent à une forte demande des entreprises, qui cherchent des managers agiles. Nous avons cette capacité à bien manier les outils numériques. Nous l’avons vu depuis le Covid. La transition a été brutale avec le développement du télétravail. C’est pourquoi je suis très heureuse de mon choix, car j’ai trouvé ce côté management et cette culture digitale que je cherchais. C’est complet.

Comment déconstruire les a priori du type « geek = ingénieur » que peuvent avoir certains parents ou lycéens sur le programme TEMA ?

J’ai fait quelques salons et on rencontre en effet des personnes inquiètes sur le niveau demandé en code et, plus largement, en digital. Or, la majorité des élèves en première année ne sont pas du tout des spécialistes. Ce ne sont pas non plus des geeks qui jouent en ligne toute la nuit. Il faut avant tout être intéressé par cet aspect digital et suffisamment motivé. Le cursus reste ancré dans la culture d’une école de commerce ! En l’occurrence, j’effectue actuellement en stage en tant qu’assistante communication dans une start-up qui travaille dans le milieu hôtelier.

Enfin, comment décririez-vous la vie étudiante ?

Elle est très développée, surtout à Reims et Rouen, les campus historiques. À Paris, où je suis, le campus est plus récent et la vie associative vit ses premières années avec de la mode, de l’humanitaire, du foot, du basket ou encore de la photographie. Tout est à créer. J’ai pu intégrer le Bureau des élèves (BDE) en tant que responsable communication. Cela nous donne une première expérience en entrepreneuriat.

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