Témoignage

Louise, équipière chez McDo : "Le rythme n'est pas facile à tenir au moment du rush"

Équipier chez MacDonald
La restauration rapide : un job facile à concilier avec ses études. © Simon LAMBERT/HAYTHAM-REA
Par Catherine de Coppet, publié le 13 octobre 2017
3 min

Beaucoup de jeunes font le choix de travailler dans la restauration rapide pendant leurs études pour gagner un peu d'argent. Louise nous raconte son expérience chez McDonald's.

Ce n’est pas le job original par excellence, mais le volume annuel d’embauches en fait une option incontournable… Si vous n’avez peur ni du rythme ni du cadre de travail, travailler à temps partiel dans la restauration rapide peut être la solution.

"Je crois que le minimum est de dix heures par semaine, payées au SMIC",

se souvient Louise, étudiante en licence de psychologie, qui a travaillé plus d’un mois dans un McDo à Paris. "Il y a une vraie souplesse puisque, en plus de choisir son volume d’heures, on peut indiquer ses disponibilités sur un calendrier et, chaque semaine, on nous donne notre planning." Ayant postulé en ligne, Louise a été recrutée rapidement, directement après un entretien. "Lors de la candidature en ligne, vous indiquez cinq restaurants dans lesquels vous aimeriez travailler."

Rythme soutenu mais ambiance sympa

Embauché comme équipier, vous êtes censé être polyvalent et travailler autant en salle qu’à la caisse ou en cuisine. "Pour ma part, je n’ai travaillé qu’en salle et à la caisse, explique Louise. Le rythme n’est pas facile à tenir au moment du rush, au déjeuner et au dîner. Pendant deux heures, on est debout et il faut servir vite. La première semaine, ce n’était pas facile, mais j’ai pris le pli. Et l’atmosphère était sympa entre jeunes."

À l’issue de sa période d’essai, Louise a préféré s’arrêter. "J’avais un contrat de vingt et une heures hebdomadaires, c’était trop lourd. J’y allais toute la semaine, sauf deux jours où j’allais à la fac." Autrement dit, le job est compatible avec les études dans la mesure où vous n’acceptez pas un volume d’heures trop important au regard de vos obligations universitaires.

Les moins
Le nombre de restaurants (il y en a forcément un près de chez vous ou de votre lieu d’études), la facilité de recrutement, la souplesse de l’emploi du temps, l’ambiance de travail…

Les plus
Le rythme soutenu, le cadre de travail (odeur de friture), le type de tâches.

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