Portrait

Margaux a choisi une école post-bac pour "son parcours direct jusqu’à bac+5"

Portrait Margaux
Margaux, en 2e année du programme grande école en 5 ans de l’EMLV. © Photo fournie par le témoin
Par Clothilde Hanoteau, publié le 21 novembre 2019
3 min

Après le bac, Margaux a voulu s’orienter vers une école post-bac pour son parcours encadré et la possibilité d’obtenir à l’issue un master bac+5. Son choix s’est porté sur l’EMLV pour sa transversalité et son orientation progressive.

"En terminale ES sans projet précis, j’ai envisagé des études dans le domaine du ‘commerce’ pour leur aspect généraliste, et une école post-bac pour le parcours encadré. Je voulais suivre un parcours qui me conduise directement au niveau master bac+5.

C’est surtout pour la transversalité entre les écoles du Pôle Léonard de Vinci que j’ai choisi l’EMLV. La présence d’une école d’ingénieurs (ESILV) et d’une école du digital (IIM) est un énorme atout. Nous avons par exemple des semaines sur un projet transverse entre élèves des différentes écoles. C’est très enrichissant car nous n’avons pas les mêmes façons de penser. Les semaines ’soft skills’ sont précieuses et permettent d’adopter une manière souple de travailler, et préparent au monde de l’entreprise.

Des cours plus concrets

J’apprécie particulièrement la place du numérique dans la pédagogie. Ainsi nos cours, suivis en présentiel, sont ensuite disponibles en ligne. Les matières enseignées sont directement liées aux fonctions et métiers de l’entreprise, c’est moins théorique qu’une licence ou une prépa.
Les nombreux travaux de groupe apprennent à travailler en équipe. Mon premier stage, dans la vente, a été très formateur et je me suis rendu compte à quel point l’expérience acquise au sein de l’école m’était utile pour la relation client.
Autre point fort pour moi : l’orientation progressive. En arrivant, je pensais à la finance et finalement aujourd’hui je penche pour le marketing et la négociation. Les fonctions commerciales et le business développement m’intéressent. Les trois premières années permettent cette réflexion et de mieux cerner son projet."

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