Découverte

Anticiper la décennie qui vient avec l’école du web HETIC !

Proposé par HETIC

Anticiper la décennie qui vient avec l’école du web HETIC !
Anticiper la décennie qui vient avec l’école du web HETIC ! © HETIC
Par L'Etudiant Fab, publié le 10 octobre 2023
5 min

Cette école de la tech et des métiers du digital installée à Montreuil (93) soigne ses étudiants avec cette idée forte, une ligne de mots d’ordres qui vaut proclamation : professionnalisation, inscription dans l’époque et souci du bien commun.

La fièvre du présent plutôt que le marbre universitaire

« No tech, no future ». Mettre la technologie au service du bien commun. L’annonce est ambitieuse, mais c’est finalement la seule qui vaille. Dans un secteur qui ne vaut que par son potentiel de mutation permanente, la question de l’éducation prend une coloration nouvelle. « Nous avons la certitude que la technologie accompagnera le futur dans la bonne direction, que les questions économiques ou environnementales ne pourront passer outre », affirme Yacine Seddiki, responsable marketing et communication chez HETIC. Est-ce une forme de foi ? Sans doute. Est-elle irrationnelle ? Non, clairement pas. L’institution se donne tous les moyens pour accompagner la prophétie, en particulier grâce au programme Grande École, sa formation phare. Une manière y vaut signature : la pédagogie par projets. Qu’il s’agisse de marketing digital ou de développement web, pas question de s’abîmer dans des vues théoriques, toujours un peu déconnectées, toujours finalement dépassées. HETIC s’efforce de composer entre une contrainte et une liberté, un élément extérieur et une décision interne. À l’extérieur : le monde ! Le monde tel qu’il va. Les besoins des entreprises, l’état de la recherche, le déploiement des solutions nouvelles. À l’intérieur, un sens de l’adaptation, le désir de coller à l’époque, de la suivre et de l’anticiper. En tout cas, de ne jamais se laisser déborder par les évolutions digitales. Chaque année, 20 à 30 % du programme sont modifiés en conséquence.

 

Résultat, les performances de l’école du web font pâlir d’envie la concurrence. En se donnant les moyens de faire performer ses étudiants, l’école peut mettre en avant 95 % d’anciens Héticiens trouvant un emploi dans les six mois. Une donnée d’ailleurs faussée par les années sabbatiques… Ces Héticiens se retrouvent partout, au sein des licornes, des sociétés du CAC 40, à la tête de leurs propres entreprises (pour 10 à 15 % des diplômés). Et tout est bon pour s’élever. La pédagogie par projets, oui, mais évaluée par des pros. D’abord, les professeurs n’en sont pas. On parle plutôt « d'intervenants », soit d’acteurs et de témoins de la réalité professionnelle. Leur vocation : intervenir, précisément, dans la vie de jeunes gens décidés à y imprimer aussi leur marque. Fermement. Les murs de l’école sont finalement des baies vitrées, très larges, pour que l’éclairage soit réel, pour que l’inspiration soit porteuse. Ensuite, ces projets sont pensés pour être enthousiasmants, parfois prestigieux. Que l’on songe à cette invitation de l’Institut Jean Monnet pour mener un hackathon autour de ce sujet « Comment parler d’Europe aux jeunes dans un monde digital ? ». Coachées et évaluées par des membres de Publicis et de Meta, les meilleures équipes ont ensuite été reçues au Quai d’Orsay par Laurence Boone, la Secrétaire d’État chargée de l’Europe, mais aussi à la Commission européenne, par la porte-parole d’Ursula von der Leyen. S'ensuivirent d’excitants échanges à propos des critères d’une bonne campagne d’influence sur Internet. Les étudiants de HETIC, alors, portaient déjà la casquette d’expert et le programme Grande École donnait ainsi sa pleine mesure. 

Être à la hauteur de ses ambitions

Le programme Grande École se déroule en cinq ans (quatre années en formation initiale et la dernière en alternance). C’est un parcours d’élite, nous dit Yacine, qui vise l’aptitude à travailler à la fois sur le contenant et le contenu, à maîtriser la tech autant que son alimentation. On y acquiert la connaissance du développement, du design, du marketing, on doit autant saisir les clés de l'entrepreneuriat que celles de l’innovation. Il importe que chacun puisse parler à tous, en connaissance de cause. Loin d’une formation généraliste où l’on touche un peu à chaque domaine sans être véritablement bon nulle part, c’est ici l’occasion d’être spécialiste dans chaque champ pour accompagner l’évolution du digital. « On cherche à y épouser les dynamiques à l’œuvre dans le monde réel. » Le seul moyen d’être en avance sur son temps et de pratiquer l’éducation selon sa vocation première : servir. Les étudiants sortant de HETIC s’adaptent vite aux problématiques, ce qui fait figure de nécessité étant donné la rapidité des évolutions dans la tech et la multiplication des points de friction. 

Yacine aime à rappeler que l’une des forces de HETIC, c’est que l’école appartient aux étudiants, et bien au-delà de la formation. « Rien ne s’interrompt le jour du diplôme. Au contraire : tout commence ! Plus qu’un réseau professionnel, c’est un réseau de neurones qui se constitue ici. » Ils ne sont pas rares les cas où un Héticien en appelle un autre pour obtenir son aide devant telle ou telle difficulté. Un esprit que l’on retrouve d’ailleurs à travers la vie associative interne. D’abord, il y a Synerg’hetic, une Junior-entreprise, l’une des 30 meilleures de France, par laquelle est passée Léo Largillet (bénéficiaire du programme Grande École). Ce dernier est aujourd’hui président des Junior-Entreprises Europe. Ensuite, et dans un tout autre esprit, il faut dire un mot de F9, ce club d’e-sport qui, non content d’être une agence professionnelle d’in-game advertising, est monté en Ligue 1… Une voie royale. 

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