Décryptage

École ENGDE : une formation qui mène aux métiers les plus prometteurs de la comptabilité et de la gestion

Proposé par ENGDE

École ENGDE : une formation qui mène aux métiers les plus prometteurs de la comptabilité et de la gestion
École ENGDE : une formation qui mène aux métiers les plus prometteurs de la comptabilité et de la gestion © ENGDE
Par L'Etudiant Fab, publié le 27 février 2024
7 min

L’ENGDE, grande école de gestion et d’expertise comptable en alternance, présente à Paris, Lille, Lyon et Aix-en-Provence, forme aux métiers de la comptabilité et de la gestion. Au programme, une formation d’excellence, avec deux programmes pour devenir expert-comptable, comptable ou encore contrôleur de gestion.

Labellisée « École de la profession » par le Conseil national de l’Ordre des experts-comptables, sur le campus de Paris, l’ENGDE forme la jeune génération aux métiers de la comptabilité et de la gestion. Dynamique et soucieuse d’évoluer avec son temps, l’ENGDE défend une image positive et audacieuse du secteur. Sur les campus de Paris, Lille, Lyon et bientôt Aix-en-Provence, les étudiants développent des compétences techniques et humaines utiles aux métiers de la comptabilité et de la gestion tels qu’ils se définissent aujourd’hui. Au choix, ils peuvent se préparer aux examens d’État – DCG, DSCG et DEC – ou suivre le Programme Grande École.

Les métiers de la comptabilité et de la gestion, bien plus fun qu’il n’y paraît

Oubliez l’image du comptable enfermé seul dans un bureau qui manipule une calculatrice et ouvre des classeurs. Aujourd’hui, les métiers de comptable, d’expert-comptable et de contrôleur de gestion ont perdu de leur caractère fastidieux et potentiellement décourageant. « Désormais, les outils de digitalisation et d’autonomisation par l’intelligence artificielle s’occupent de remplir des tableaux Excel et de faire les comptes », explique Christelle Jondot, directrice de l’ENGDE à Paris. Autrement dit, en 2024, le comptable ne trie plus les factures. Son rôle est bien plus vaste et essentiel : il travaille à l’analyse de la rentabilité et des flux financiers et participe ainsi à la stratégie de l’entreprise. En cabinet d’expertise comptable, idem : l’aspect humain est renforcé. « Le comptable n’est plus celui qui fait le point sur les notes de frais de son client : il l’accompagne, échange quant à la pérennité de son entreprise, propose du conseil patrimonial… », recadre la directrice.

Même son de cloche pour le contrôleur de gestion qui, parce qu’il maîtrise les budgets, prend part aux grandes décisions de l’entreprise. « On l’appelle désormais “business performer”, c’est plus moderne », notifie la directrice. Ces métiers ont donc revu leur copie au gré des évolutions numériques et aujourd’hui, ils attirent de plus en plus de jeunes, les filles comme les garçons.

Quelles études pour devenir comptable ou contrôleur de gestion ?

L’ENGDE propose deux parcours. Le premier : les programmes DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion), DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion) et DEC (Diplôme d’Expertise Comptable). Ces programmes préparent aux examens d’État, soit des examens officiels, la profession d’expert-comptable étant encadrée par l’État. Première étape : le DCG, accessible après le bac, qui confère un grade de licence. Il ouvre au DSCG qui concède quant à lui un Mastère universitaire (bac +5). Le DEC, enfin, se prépare en trois ans et s’apparente au graal : c’est le diplôme final de la formation d’expert-comptable, niveau doctorat (bac +8).

Autre voie possible à l’ENGDE : le Programme Grande École, qui délivre des titres certifiés inscrits au RNCP. Trois Bachelors sont disponibles : Audit, Conseil et Finance ; Paie et Gestion sociale ; Responsable de mission en cabinet d’Expertise Comptable. Ce dernier cursus a été coconstruit avec le Conseil national de l’Ordre des experts-comptables. Après un Bachelor (bac +3), les étudiants jouissent d’un titre de niveau 6. Il est ensuite possible de poursuivre ses études en Mastère et de décrocher un titre de niveau 7.

Quels sont les métiers de la comptabilité et de la gestion ?

Un DCG en poche, soit un titre bac +3, mène les étudiants à des métiers comme chef comptable dans une entreprise, assistant contrôleur de gestion ou encore gestionnaire de paie. Ceux qui obtiennent, ensuite, un DSCG (niveau bac +5) pourront prétendre à des postes à plus hautes responsabilités dans la finance, la gestion des organisations et le domaine de l’expertise comptable. En passant le DEC, l’ultime diplôme, il est possible de se former aux métiers de commissaire aux comptes ou d’expert-comptable.

Via le Programme Grande École, les étudiants peuvent devenir comptables ou exercer un métier en gestion-finance, ou encore en ressources humaines. Ne pas disposer d’un titre officiel n’empêche aucunement d’atteindre le marché de l’emploi et de s’épanouir dans le secteur. Mais comment faire un choix entre ces deux parcours de formation ?

DCG, DSCG, DEC ou Programme Grande École : quelle formation choisir à l’ENGDE Paris, Lille, Lyon ou Aix-en-Provence ?

« La profession d’expert-comptable étant réglementée par l’État, un élève qui souhaite exercer ce métier choisira de passer un examen d’État », explique Christelle Jondot. Via le Programme Grande École, les élèves ne peuvent prétendre au titre « d’expert », mais pourront, sur le marché de l’emploi, viser des postes de comptable en entreprise ou en cabinet d’expertise comptable. Autre différence : celle ou celui qui passe un examen d’État et bénéficie ensuite d’une formation encadrée par ce dernier pourra être indépendant et ouvrir sa propre structure.

« Pour autant, le Programme Grande École n’est pas dévalorisé ou dévalorisant, il conduit à de très belles carrières : certains élèves vont le préférer tant le DEC est exigeant ; sur 60 élèves, un seul obtiendra le diplôme », précise Christelle Jondot. Si le Programme Grande École assure également une belle réussite et de réelles opportunités, c’est parce qu’il est axé sur le contrôle continu, là où les examens d’État sont synonymes de « one shot » : si vous n’êtes pas en forme le jour J, vous pouvez le rater. À noter qu’un élève qui n’obtient pas son DCG peut tout à fait basculer en Bachelor : « Ce système de passerelle est spécifique à l’ENGDE, c’est une double chance que toutes les écoles n’offrent pas », insiste Christelle Jondot.

Des études en alternance pour travailler dans la comptabilité et la gestion

Dans le secteur, l’ENGDE ne rayonne pas seulement par son énergie et ses cours de qualité : la possibilité d’effectuer ses études en alternance, au sein des deux cursus, est également un gage de qualité et d’excellence. « Nous avons développé un accompagnement fort afin que les élèves trouvent aisément une entreprise ou un cabinet d’accueil », note Christelle Jondot. Dès l’inscription, les étudiants sont reçus par un conseiller en relation entreprises. Correction du CV, ateliers de coaching pour se préparer aux entretiens, rappels quant à la tenue et la posture à adopter, animation de son compte LinkedIn… Aucun sujet n’est mis de côté.

En sus, des speed meetings sont organisés. Lors d’une journée type, les étudiants rencontrent jusqu’à six entreprises qui découvrent leur CV quelques minutes avant l’entrevue. Ces événements sont aussi l’occasion, pour les jeunes, d’affiner leur projet professionnel et notamment, de sonder leurs affinités entre un poste en cabinet ou en entreprise. Aussi, certaines grandes entreprises partenaires, qui espèrent recruter plusieurs talents de l’ENGDE, se déplacent sur les campus ou reçoivent les jeunes dans leurs locaux afin de multiplier les rencontres et de créer de belles synergies.

Enfin, les étudiants partagent leur temps entre vie professionnelle et cours théoriques. Un moyen de progresser rapidement, d’asseoir leurs connaissances et leurs compétences, et surtout d’obtenir cette confirmation : les métiers de la comptabilité et de la gestion sont passionnants et épanouissants.

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