En bref

Quatre bonnes raisons de devenir ingénieur

Proposé par Concours Mines-Télécom

5 bonnes raisons de devenir ingénieur
5 bonnes raisons de devenir ingénieur © Concours Mines-Télécom
Par L'Etudiant Fab, publié le 01 juin 2021
10 min

Vous aimez les matières scientifiques, mais vous n’osez pas vous tourner vers les métiers d’ingénieurs ? Le Concours Mines-Télécom, qui permet chaque année à des milliers de jeunes d’intégrer de grandes écoles dans des domaines d’avenir, vous donne quatre bonnes raisons de vous lancer les yeux fermés.

1. Contribuer à la transition écologique et au développement durable

En tant que futur ingénieur, agir pour le progrès, c’est travailler pour préserver l’environnement qui nous entoure, c’est aussi donner du sens à son métier tout en relevant des défis passionnants.

Dans cette perspective, l’ENSG Géologie se positionne en tant qu’acteur de la transition énergétique et écologique (big data, valorisation des matières premières minérales, sites et sols pollués, hydrologie, etc.). Tout comme l’IMT Nord Europe, où vous trouverez des cursus spécialisés dans les énergies renouvelables pour l’habitat, la prévention et le traitement des pollutions ou encore en production et conversion de l’énergie. L’École Nationale de Météorologie (ENM) de Toulouse, quant à elle, se concentre sur les problématiques du climat et de la prévision du temps (le campus est d’ailleurs situé au cœur des services opérationnels). Sans oublier l’ENSTA Bretagne, où l’on vous propose une formation rare et passionnante en physique de l’océan et du climat. Puis il y a IMT Mines Alès et IMT Mines Albi, reconnus pour leurs formations en ingénierie du sous-sol et exploitation des ressources minérales ou encore en éco-activités et développement durable.

2. Participer à la transformation numérique de notre société

La transformation numérique fait aujourd’hui partie intégrante de notre quotidien et de notre économie, impactant tous les secteurs. De même, la transition environnementale renforce l’urgence de concilier métiers du numérique et engagement durable par le biais de la formation des nouveaux ingénieurs. Ce processus est amené à s’intensifier dans les prochaines années, notamment grâce au bouleversement que représentent l’avènement des nouvelles technologies et l’essor d’internet. Le métier d’ingénieur est un véritable moteur, tant au niveau de la recherche que dans la gestion, et se voit offrir une multitude de perspectives.

Pour répondre aux attentes du marché en la matière, Télécom SudParis forme sur mesure des diplômés prêt à promouvoir une société numérique sobre et durable. Elle propose des parcours dans tous les domaines clés du numérique, à savoir la cybersécurité, la data science, l’Intelligence Artificielle, les systèmes d’information, ainsi que les jeux vidéo, sous le prisme d’ « ingénieur responsable ». Il y a également L’ENSSAT (École Nationale Supérieure des Sciences Appliquées et de la Technologie) qui est, quant à elle, un véritable catalyseur d’innovation. Elle propose trois formations d’ingénieurs en informatique et systèmes numériques et est l’une des trois écoles en France à proposer une formation en photonique[1]. Enfin, à l’EIVP (l’École des Ingénieurs de la Ville de Paris), outre de nombreux travaux et cours autour des innovations en matière de génie urbain, un semestre entier est consacré au projet « DATA » et aux données numériques dans la ville.

Et si une carrière internationale vous intéresse, EURECOM forme des ingénieurs en sciences du numérique et se distingue par son caractère international et ses liens étroits avec les entreprises.

3. Réinventer l’industrie

Dans le monde de l’industrie aussi, les technologies contribuent à la réinvention des processus de fabrication et à l’évolution des normes de production, impactant le secteur pharmaceutique, les télécoms, l’agroalimentaire, les transports, etc. Profondément impliqué dans la recherche et la gestion, l’ingénieur tient alors un rôle majeur.

On le sait, la robotique et les nanotechnologies sont sur le point de modifier en profondeur notre industrie. À cet effet, l’ENSTA Bretagne propose des cursus en robotique autonome en passant par des formations clés en mécanique, matériaux et génie civil, ingénierie automobile ou génie logiciel. Du côté de Mines Saint-Étienne, il est possible d’étudier la photonique, une branche de la physique qui permet la génération, la transmission et le traitement ou la conversion de signaux optiques. On retrouve ce domaine dans trois de ses formations : Télécom, photonique – Électronique et photonique – Vision. Tout comme Télécom Saint-Étienne, pour laquelle la photonique s’inscrit dans les technologies de l’optique. L’école permet aussi de se spécialiser dans les infrastructures réseau, leur sécurité et leur modélisation. Dans les domaines de l’agroalimentaire et de la santé, IMT Mines Albi a su trouver sa place avec des formations en agro-bio santé et en pharma-bio santé.

Bien évidemment, les entreprises et les industriels ne peuvent pas se passer du marketing et des canaux de communication digitaux, domaines centraux pour la commercialisation et la vente. C’est pourquoi Institut Mines-Télécom Business School propose aujourd’hui aux ingénieurs d’obtenir un double diplôme axé business et management avec des cursus en marketing digital, management de projets digitaux et média ou encore en management de l’innovation.

4. Entreprendre, avoir la possibilité de faire carrière à l’international et bien gagner sa vie

Certains jeunes diplômés et futurs ingénieurs se lancent dans l’aventure entrepreneuriale une fois leurs études terminées. Si telle est votre ambition ou que vous avez simplement un projet en tête que vous souhaitez concrétiser, Télécom SudParis, IMT-BS et ENSIIE ont constitué conjointement un parcours dédié à l’entrepreneuriat ainsi qu’un incubateur technologique, l’IMT Starter. Résultat ? Les entreprises créées par les étudiants connaissent un taux de survie de 81 % à cinq ans.

Être ingénieur, c’est aussi pratiquer un métier universel. Pour vous permettre de faire le choix d’une carrière à l’international, toutes les écoles du Concours Mines-Télécom sont ouvertes à la mobilité. Soit par l’intermédiaire de stages ou d’apprentissages avec des entreprises partenaires, soit grâce à un grand nombre de cours dispensés dans des langues étrangères ou à certains cursus permettant de valider des diplômes internationaux. À titre d’exemple, à l’IMT Mines Albi, 10 langues étrangères ainsi que la langue des signes sont au programme.

Côté rémunération, selon une enquête récente de l’EISF, en France, les salaires des ingénieurs fraîchement diplômés sont parmi les plus élevés du marché du travail. Ce constat transparaît notamment au travers des résultats de l’ensemble des écoles du Concours Mines-Télécom à l’enquête Premier emploi de la Conférence des Grandes Écoles : à Télécom Nancy, par exemple, le temps moyen de recherche du premier emploi est de moins de 15 jours. C’est tout aussi encourageant pour Télécom SudParis, qui se place comme l’école permettant d’obtenir l’un des meilleurs salaires de sortie d’études en France, la médiane est estimée en moyenne à 42 000 euros. Enfin, sur l’année 2018-2019, les résultats émis par Télécom Saint-Étienne confirment la croissance de l’insertion professionnelle des diplômés en entreprise, avec un salaire médian qui augmente (+1 k à 36,6 k).

estimé en moyenne à 43 595 euros. Enfin, sur l’année 2018-2019, les résultats émis par Télécom Saint-Étienne confirment la croissance de l’insertion professionnelle des diplômés en entreprise, avec un salaire médian qui augmente (+1 k à 36,6 k).

Plus qu’un métier, être ingénieur, c’est avant tout un état d’esprit fait de rigueur, de curiosité, de bon sens et d’organisation. C’est aussi la passion pour la science, la découverte de solutions qui bouleverseront le monde de demain et une carrière dédiée à l’apprentissage. Le Concours Mines-Télécom est un accès direct à des écoles de l’IMT et du ministère de l’Industrie qui ont un formidable lien avec la recherche, notamment grâce à des enseignants-chercheurs dévoués corps et âme au métier et qui ont à cœur de transmettre le goût de l’ingénierie.

[1] Les ingénieurs en photonique maîtrisent les propriétés de la lumière et les technologies numériques.

Vous aimerez aussi

Contenus supplémentaires

Partagez sur les réseaux sociaux !