PPA Business School : alternance et excellence, les deux piliers de cette école de commerce et de management

C’est en 2004 que PPA Business School voit le jour, à une époque où le principe des études en alternance s’impose timidement dans l’enseignement supérieur. PPA Business School, elle, naît avec une ambition forte, presque disruptive : que chacune de ses formations, sans exception, se déroule en alternance. « Nous sommes la toute première école managériale française 100 % en alternance dès la première année après le bac », explique Christophe Felidj, directeur de PPA Business School à Paris. À ce pari devenu gagnant s’ajoutent un enseignement de haute qualité, des projets dynamiques au sein des cours et l’obtention de titres reconnus par l’État. Un combo qui assure la réussite des étudiants.

En d’autres mots, PPA Business School défend une professionnalisation et une excellence académique qui font aujourd’hui sa renommée. Présente dans 11 villes en France – à Paris, Lille, Lyon, Grenoble, Reims, Aix-en-Provence, Nantes, Toulouse, Toulon, Bordeaux et Rennes –, c’est l’une des plus grandes écoles de commerce de l’Hexagone. À la rentrée 2024, toujours dans un souci d’offrir le meilleur à la jeune génération selon les attentes des entreprises et du marché, elle ouvre une nouvelle formation Conseil en Management de la Transformation Numérique, en Mastère et MBA. Si vous voulez vous former aux métiers du management, du marketing, de la communication, de la gestion et de la finance, une chose est sûre, vous êtes au bon endroit.

« PPA Business School n’a eu de cesse de grandir depuis des années en multipliant les reconnaissances académiques et en opérant un déploiement national », explique Christophe Felidj. Aujourd’hui, cette grande école de commerce et de management propose des cycles Bachelor (trois ans), accessibles après l’obtention du baccalauréat, et des cycles Mastère (cinq ans), tous en alternance dès la première année.

« Toute notre pédagogie s’est construite sur l’alternance : nous avons bâti nos formations dans le seul but de former de futurs managers par l’apprentissage », souligne Christophe Felidj. En effet, à PPA Business School, les étudiants partagent leur temps entre école et entreprise. En Bachelor, le rythme est de deux jours par semaine à l’école et trois jours en entreprise. En Mastère, il est de quatre jours en entreprise. L’important ? Le terrain, la pratique. Comme le rappelle Christophe Felidj, l’alternance offre une véritable complémentarité entre théorie et pratique. « À PPA Business School, on pratique, on apprend, on pratique, on apprend », dit-il. C’est rythmé et formateur.

Les Bachelors et Mastères de PPA Business School se déclinent selon plusieurs spécialisations : Marketing, Communication, Management Commercial, Ingénierie d’Affaires, International Business, Achats et Supply Chain, Ressources Humaines, Gestion de Patrimoine et Immobilier, Conseil, Audit et Contrôle de Gestion et enfin, Finance. Ces domaines nécessitent des connaissances techniques pointues, que PPA Business School délivre via des programmes complets et remis à jour régulièrement, selon les attentes des entreprises et les enjeux actuels du commerce et du management.

L’atout de l’alternance en école de commerce, au-delà de son caractère ultra-professionnalisant ? La formation est prise en charge financièrement par l’entreprise. Aucun frais de scolarité à débourser. L’étudiant est également rémunéré. « Entre 700 et 1 500 euros par mois », précise Christophe Felidj, le directeur de PPA Business School à Paris.

Mais l’autre gros avantage, c’est bien la probabilité de trouver du travail. Christophe Felidj l’estime à 100 %. « Un étudiant qui sort de PPA après cinq ans d’études est passé, en moyenne, par 2,3 entreprises, c’est hyper-valorisant », dit-il. Sans oublier que la somme des expériences passées en entreprise donne à voir le monde du travail tel qu’il est vraiment. « Dès la première année, les étudiants travaillent 35 heures par semaine, ils apprennent à gérer un agenda et à faire des sacrifices », note Christophe Felidj. Dur ? Absolument pas. Cette transition vers l’âge adulte, PPA Business School peut se targuer de l’accompagner. « Les étudiants passent d’un statut d’élève à celui de professionnel en formation », conclut Christophe Felidj.

PPA Business School est le leader de l’alternance en France. « Plus de 3 500 entreprises font confiance à PPA Business School chaque année, de la PME locale à la multinationale en passant par des start-up », note Christophe Felidj. En somme, PPA Business School forme les talents de demain, pour les entreprises et avec les entreprises.

Les entreprises partenaires de PPA Business School envoient leurs offres d’emploi en avant-première à l’école, qui sont dès lors consultables par les étudiants sur le portail internet de leur établissement. Une autre façon de décrocher l’alternance de ses rêves ? Participer aux sessions de « speed meetings ». L’école s’occupe d’opérer des matchs entre des profils d’étudiants et les besoins des entreprises. « On leur propose de rencontrer des jeunes sans leur présenter préalablement leur CV, ce qui permet aux étudiants qui n’ont pas une grande expérience professionnelle, notamment en première année, de démontrer leur motivation et d’exposer leurs envies », explique Christophe Felidj. Résultat : l’école affiche 97 % de taux de placement. Un étudiant qui ne trouverait pas d’entreprise – durant les trois mois impartis, à la rentrée – peut, au choix, décaler sa rentrée à janvier le temps d’effectuer de nouvelles recherches avec l’aide du service Relations Entreprises, financer lui-même sa formation ou choisir de ne pas poursuivre.

Les étudiants partagent leur temps entre l’école et l’entreprise, un moyen de confronter leurs connaissances théoriques à la réalité du terrain. Mais les cours sont aussi l’occasion d’apprendre en faisant, grâce aux enseignants de PPA Business School, qui sont chercheurs docteurs en sciences de gestion ou experts en poste issus du monde de l’entreprise.

« Les enseignants-chercheurs aident les étudiants à prendre une certaine hauteur théorique et à bien assimiler les concepts fondamentaux des périmètres enseignés », affirme Christophe Felidj. Quant aux professionnels du secteur, qui sont aussi bien des managers que des directeurs d’entreprises, ils transmettent des « compétences activables », c’est-à-dire telles qu’elles sont déployées dans le monde du travail. En cours, on s’attelle à des projets concrets et stimulants, que les professeurs co-imaginent avec leur entreprise. L’année dernière, les étudiants ont, par exemple, planché sur le cas Converse : comment encourager les millennials à acheter de la marque Converse textile et non pas seulement ses sneakers ? Autre projet, avec le groupe Sources Alma, cette fois : comment faire savoir aux consommateurs que la Cristalline est l’eau en bouteille la plus responsable ?

C’est la philosophie de PPA : répondre à de vraies problématiques d’entreprises. « Avant PPA, l’étudiant avait du potentiel. Quand il sort de PPA, il sait faire », conclut Christophe Felidj.

« Chaque année, nous organisons des comités sectoriels : nous réunissons des dirigeants de grandes structures et des fédérations professionnelles et, ensemble, nous identifions l’évolution des demandes des entreprises en termes de compétences », explique Christophe. Partant de là, PPA Business School actualise ses programmes pour, toujours, délivrer des cours en adéquation avec les besoins actuels des entreprises, mais aussi ceux des cinq années à venir dans leur secteur d’activité.

En plus des programmes mis à jour, PPA School Business tire des comités sectoriels de nouvelles certifications à apporter à ses étudiants. Par exemple, les étudiants en Supply Chain peuvent passer aujourd’hui la certification professionnelle et reconnue Six Sigma. Ceux qui suivent une formation en ingénierie d’affaires peuvent se préparer à la certification Prince 2, en gestion de projets.

Toujours dans cette nécessité de répondre aux besoins du marché et aux enjeux actuels du monde du business, PPA Business School ouvre un nouveau Mastère à la rentrée 2024, co-construit avec l’école ESGI : Conseil en Management de la Transformation Numérique. L’objectif ? Former les futurs accompagnateurs de la transition digitale au sein des entreprises. Pas la peine d’être technique : il s’agit d’un accompagnement basé sur l’humain. « C’est clairement un besoin qui vient d’émerger », souligne Christophe Felidj. À l’issue de cette formation – un cursus en alternance –, les étudiants pourront devenir consultants en système d’information ou chefs de projet numérique, de nouveaux métiers dans l’air du temps que PPA Business School se fait un plaisir de défendre.