Description
Secteur | Audiovisuel - Cinéma - Animation |
Niveau d’études minimal | Bac+3 |
Bac conseillé | STD2A |
Alternance | Oui |
Sélectivité des études | Moyenne à forte |
Insertion professionnelle | Difficile |
Salaire débutant mensuel brut | De 2.000 € à 2.500 € (1) |
Que fait un(e) monteur(euse) truquiste ?
Ce magicien de l’image intervient en phase de post-production, c’est-à-dire après le tournage du film. À la demande du réalisateur, il transforme les images et réalise des effets spéciaux grâce à des logiciels spécifiques. Il fait disparaître des détails indésirables, comme des ombres ou des imperfections du décor. Il peut aussi insérer de nouveaux éléments dans les images, par exemple un personnage ou un décor fictif.
Le truquiste opère principalement dans le cinéma et la publicité, ainsi qu’à la télévision, où les génériques et l’habillage des émissions s’appuient sur de nombreux trucages, mais également dans le monde du jeu vidéo.
Créatif et réactif, le truquiste travaille le plus clair de son temps sur ordinateur et dans des délais souvent très courts.
Quelles sont les compétences du (de la) monteur(euse) truquiste ?
Imaginer, créer, modifier.
Quelle est la formation du (de la) monteur(euse) truquiste ?
Elle s’effectue sur une année scolaire, en alternance, au sein de l’École d’Audiovisuel CIFACOM à Paris en partenariat avec le CLCF (Conservatoire Libre du Cinéma Français), après un bac+2 (BTS Métiers de l’audiovisuel) ou une licence en cinéma.
(1) Salaire mensuel pour cinq semaines, calculé sur la base du minimum garanti de 1.636,03 € par semaine pour 39 heures (35 heures au salaire horaire de base plus quatre heures majorées de 25 %) dans le cinéma et de 843,75 € à la télévision.
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