Ces lycées de banlieue qui boostent leurs élèves
Ils sont parfois qualifiés de "lycée ghetto". Ils ont la réputation d’établissements au sein desquels les élèves n’ont pas le bac. La raison : ils sont installés dans des quartiers difficiles de banlieue parisienne, de Marseille ou de Roubaix. Or, malgré ces vents contraires, ces lycées font réussir leurs élèves. Comment font-ils ? Quelle est leur recette ? Enquête.
À Saint-Denis, Paul-Éluard met le décrochage entre "parenthèses"
Les élèves en difficulté sont les plus susceptibles de décrocher. Le lycée Paul-Éluard concentre ses forces pour rallumer, chez eux, la flamme du désir d’apprendre.
À Bobigny, Louise-Michel travaille en mode projet
À Louise-Michel, toute l'équipe pédagogique se mobilise pour faire réussir des jeunes aux difficultés notoires. Les élèves baignent dans une atmosphère qui leur sied.
À Trappes, la Plaine-de-Neauphle allie arts et fondamentaux
Les élèves de la Plaine-de-Neauphle ont d'énormes difficultés en français et en mathématiques. La priorité du lycée : améliorer les capacités dans ces matières.
À Roubaix, les profs de Jean-Moulin à l'école de la bienveillance
Esprit de famille, encouragement : tels sont les maîtres mots des profs de Jean-Moulin, permettant d'outrepasser et de combattre les difficultés des élèves.
À Marseille, Victor-Hugo tisse un contrat de confiance
Les difficultés scolaires et l'absentéisme sont deux menaces qui pèsent sur le lycée Victor-Hugo à Marseille. Pour lutter contre elles, l'équipe pédagogique mise sur la confiance.