Changer de voie après un bac+1 : CESI vous accompagne dans votre projet de réorientation !
Proposé par CESI
Vous avez des doutes sur votre choix d’orientation et songez à changer de voie ? Alors, c’est l’occasion de découvrir les nombreuses formations proposées par CESI pour redessiner les contours de votre projet professionnel.
De plus en plus d’étudiants concernés par un projet de réorientation
Chaque année, nombreux sont les étudiants à faire le choix d’une réorientation après une première expérience mitigée. Cette décision peut être motivée par bien des raisons : perte de motivation, désintérêt pour les cours enseignés, nouveau projet professionnel, etc.
Ainsi, l’envie de changer de voie dès la première année d’études ne doit pas être perçue comme un échec. Bien au contraire ! Plutôt que de poursuivre un cursus qui ne vous intéresse pas vraiment, prenez le temps de vous poser les bonnes questions. Il n’est jamais trop tard pour repenser votre parcours de formation et cela demande un vrai travail d’introspection !
Le saviez-vous ? Environ 25 % des étudiants qui intègrent une L1 optent pour une réorientation dès l’année suivante.
Tout savoir sur la réorientation à CESI
Comment les étudiants s’orientent-ils vers CESI ?
Qui dit « réorientation » dit « recherche active » d’une formation. À cet effet, CESI intervient régulièrement pour présenter ses différents cursus dans le cadre de salons ou de Journées portes ouvertes. L’occasion de prendre un premier contact avec les enseignants et les étudiants présents et de se renseigner sur l’école.
Cette prise de contact peut aussi se faire de manière plus informelle, comme nous l’explique Célia Guilloteau, responsable des départements BTP et Ressources humaines du campus de Nanterre : « Majoritairement, ce sont des élèves qui viennent grâce au bouche-à-oreille, après avoir entendu parler de nous par des étudiants ou d’anciens élèves. »
Qui sont les étudiants qui optent pour une réorientation à CESI ?
Les étudiants qui optent pour une réorientation à CESI peuvent venir de filières très différentes selon les programmes choisis.
Tout d’abord, sans surprise, pour le Programme Grande École, la plupart des élèves qui font le choix d’une réorientation à CESI justifient d’une formation scientifique ou technique. Ils sont notamment issus d’une autre école d’ingénieurs ou d’une classe préparatoire dans l’optique de rejoindre CESI et, sûrement, une école plus conforme à leurs attentes. On accueille aussi dans ce cursus d’anciens étudiants en médecine, en physique-chimie ou en informatique qui ont du mal à s’acclimater au modèle universitaire.
Enfin, contrairement aux idées reçues, sachez que vous avez parfaitement la possibilité de rejoindre CESI dans le programme Bachelor de spécialité par exemple, si vous venez d’un cursus généraliste, comme nous le confirme Célia Guilloteau : « Après un bac +1, on peut très bien décider de changer totalement de filière. Nous avons déjà accueilli des étudiants après une licence 1 en histoire ou en commerce, donc c’est tout à fait envisageable. »
Quelles formations peuvent être intégrées lors d’une réorientation ?
Naturellement, les élèves issus d’une école d’ingénieurs ou d’une classe préparatoire ont tendance à s’orienter vers le Programme Grande École. Deux options s’offrent alors à eux :
● intégrer le cycle préparatoire et effectuer une nouvelle première année ;
● intégrer le cycle préparatoire en deuxième année s’ils justifient de 60 crédits ECTS et d’un dossier favorable.
Bien entendu, les étudiants issus d’autres filières scientifiques peuvent eux aussi candidater pour intégrer le cursus ingénieur en cinq ans au sein de CESI. C’est même fréquent.
Parmi les autres formations proposées par l’école, on trouve des cursus plus courts, qui débouchent sur une insertion professionnelle plus rapide. C’est notamment le cas du diplôme de technicien supérieur (bac +2) et du Bachelor de spécialité (bac +3). Ce dernier a l’avantage de proposer aux étudiants de se former dans des domaines d’expertise variés (BTP & génie civil, ressources humaines, environnement & développement durable, etc.). Un master professionnel (bac +5) peut ensuite être envisagé par les étudiants qui souhaitent poursuivre leurs études et se spécialiser.
Comment se déroule l’intégration à CESI ?
Les étapes d’admission peuvent varier selon le cursus que vous décidez de suivre à CESI. Si votre dossier étudiant joue bien entendu un rôle déterminant, vous aurez aussi l’occasion d’exprimer vos motivations et votre projet professionnel au cours d’un entretien individuel. Célia Guilloteau détaille ce point : « Si je prends l’exemple du Bachelor de spécialité, on s’assure que chaque étudiant se soit renseigné sur le métier visé. On prend le temps de discuter de son projet et on vérifie qu’il a les capacités nécessaires pour suivre la formation et s’intégrer sur le marché du travail par la suite. »
Concernant le suivi de ces nouveaux élèves, CESI se montre particulièrement vigilante : « On apporte un accompagnement très fort au sein de l’école. Les élèves qui peuvent rencontrer des difficultés sont très bien encadrés par nos enseignants. »
Le saviez-vous ? Si vous envisagez de vous réorienter au sein d’une formation en alternance, CESI vous invite à participer à des ateliers techniques et de recherche d’emploi. L’occasion idéale de mettre votre temps libre à profit afin de trouver rapidement une structure d’accueil pour la prochaine rentrée.
Réorientation : zoom sur des parcours réussis et des secteurs porteurs
Un bel exemple de réussite
Une fois leur admission à CESI validée, les étudiants issus d’une réorientation ont toutes les cartes en main pour mener à bien leur nouveau projet professionnel.
Les cas d’intégrations réussies ne manquent pas. Célia Guilloteau revient sur celui d’une étudiante au parcours pour le moins atypique : « Il s’agit d’une élève qui vient d’une formation assistante médico-administrative. Récemment, elle a décidé de changer de voie pour s’orienter dans le BTP. Elle a d’abord obtenu le titre de responsable de chantier et elle suit aujourd’hui un Bachelor Chargé d’affaires où tout se passe très bien. C’est un exemple que je trouve très parlant, notamment vis-à-vis du public féminin, qu’on a l’habitude de retrouver dans des carrières plus orientées vers le commercial ou le marketing. Ça nous prouve qu’elles peuvent très bien réussir dans des filières techniques comme l’industrie, l’informatique ou le BTP. »
Les secteurs qui recrutent
Depuis plusieurs années, la plupart des secteurs d’activité ont des besoins grandissants en compétences techniques. En cause ? La nécessité de s’adapter rapidement aux transitions numériques et écologiques qui viennent modifier certains métiers en profondeur.
Parmi les secteurs qui manifestent un besoin de recrutement important et nécessitent des compétences techniques pointues, on trouve :
● le BTP, notamment à travers l’expansion du BIM (Building Information Modeling), qui repose sur l’intégration d’outils numériques dans la gestion des projets de construction ;
● l’industrie, où par exemple les systèmes électriques et électroniques embarqués et les objets connectés occupent une place toujours plus importante ;
● le numérique, qui connaît une forte pénurie dans les domaines de la cybersécurité et de la data science.
Pour Célia Guilloteau, le constat est clair : « Un étudiant qui possède cette expertise technique pointue et les soft skills associées n’aura aucune difficulté à s’intégrer sur le marché du travail. »
Le saviez-vous ? Le taux d’insertion professionnelle à CESI est supérieur à 90 % dans l’ensemble des formations, dès six mois après l’obtention du diplôme.
Les nombreux atouts d’une formation d’ingénieur à CESI
CESI est reconnue comme une excellente école d’ingénieurs en France. Outre son large éventail de formations, l’établissement se démarque par la qualité de son accompagnement et sa pédagogie innovante centrée sur la mise en situation professionnelle. CESI est un acteur incontournable de la formation en alternance et peut compter sur un puissant réseau.
Enfin, il est bon de rappeler que la formation d’ingénieur est un atout certain pour les étudiants au projet professionnel encore flou. Célia Guilloteau souligne : « On peut faire énormément de métiers différents avec un titre d’ingénieur généraliste. C’est une formation qui ouvre beaucoup de portes. Après votre diplôme, rien ne vous empêche de faire une spécialisation en business school pour vous lancer dans du développement produit ou dans une carrière de technico-commercial, par exemple. »
Engagée en faveur d’une réorientation réfléchie et réussie, CESI accompagne chaque année de nombreux étudiants qui ont décidé de changer de voie. Grâce à un suivi complet et personnalisé, l’école les aide à redéfinir les contours de leur projet professionnel pour les guider sur le chemin de l’épanouissement et de la réussite.
