Les combinaisons de spécialités pour être accepté en école nationale vétérinaire
INFOGRAPHIE - Les écoles nationales vétérinaires post-bac sont accessibles à l’issue d’un recrutement extrêmement sélectif, qui permet d’accéder à cette formation après le bac, sans passer par une classe préparatoire. S’il n’y a que très peu de candidats et encore moins de retenus, la physique-chimie ainsi que les spécialités SVT et biologie-écologie semblent primordiales pour avoir ses chances. Quelles spécialités avaient suivi les bacheliers 2021 acceptés en école vétérinaire sur Parcoursup ? Le détail.
Quelles combinaisons de spécialités pour intégrer une école nationale vétérinaire : SVT ou bio-éco + physique-chimie ?
Cependant, faire deux matières scientifiques n’est pas la garantie d’avoir une chance : aucun élève avec la doublette biologie-écologie et maths n’ont été accepté dans la formation en 2021. Les élèves de terminale ayant la combinaison de spécialité biologie-écologie et physique-chimie sont, avec 5% de réponses positives, ceux avec le meilleur taux d’acceptation en école nationale vétérinaire. Par ailleurs, la combinaison SVT et physique-chimie est la plus prisée des élèves de terminale pour demander cette filière, avec 3.077 candidats en 2021.
A noter que si les conditions de recrutement des écoles nationales vétérinaire sont extrêmement exigeantes, elles ne sont pas l'unique voie d'accès vers le métier de vétérinaire. Si vous ne parvenez pas à rentrer dans ces écoles post-bac, une classe préparatoire BCPST, qui prépare au concours agro-véto, reste une des principales options pour accéder à ce métier.
Les profils de lycéens selon leurs spécialités acceptés en école nationale vétérinaire
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L'ensemble de ces statistiques concernent la procédure Parcoursup 2021 uniquement. Il s'agit de la toute première fois que les nouvelles spécialités du bac général étaient prises en compte par les formations de l'enseignement supérieur. Depuis, les profils des lycéens comme les critères d'admission ont légèrement évolué. En raison de ce manque de recul, la sélectivité des candidats en fonction de leurs spécialités en 2021 peut donc être vue comme un indicateur de tendance, mais elle ne signifie pas nécessairement que les mêmes comportements seront observés en 2022.
