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Au CNSMDP, le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris : réécoutez la série de “Grantanfi" (France Culture)

publié le 07 mars 2014
1 min

Pour sa deuxième saison, “Grantanfi”, l’émission “campus” de France Culture dont l’Etudiant est partenaire, devient quotidienne et vous donne rendez-vous du lundi au vendredi de 10h50 à 11h00. Au programme du 3 au 7 mars 2014 : "Jazz en sous-sol".

Logo Grantanfi - France CultureChaque semaine, Grantanfi met un établissement d'enseignement supérieur à l'honneur et explore sa singularité en 5 épisodes (lire l'interview de Martin Quenehen, producteur de l'émission). Découvrez ici le programme de émissions de la semaine, puis leurs podcast si vous les avez ratées ou si vous souhaitez les réécouter !

Lundi 3 mars

Épisode 1 : sur le parvis du CNSMDP (le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris), Pascal Mabit se désole : il n'y a pas de filles dans sa promo de jazzmen et d'improvisateurs. Ça ne l'empêche pas de saluer les musiciennes de classique qui entrent et sortent par la porte tambour. Là, le sax en bandoulière, au cœur de l'ancien quartier des abattoirs, il se souvient de son arrivée dans le saint des saints des conservatoires.
 

Mardi 4 mars

Épisode 2 : Riccardo chante. Riccardo Del Fra, fameux contrebassiste et, par la grâce de Mingus ou de quelqu'autre dieu cinglé, directeur du département Jazz et musiques improvisées du CNSMDP. Mais quand un jazzman italien, ancien comparse de Chet Baker, dirige une clique d'improvisateurs des cinq continents : dove ? Où sommes nous vraiment ?
 

Mercredi 5 mars

Épisode 3 : entre un plateau de répétition et le patio du CNSMDP, Martha et Roméo improvisent sans filet un duo audacioso – comme on dit chez eux, à Lisbonne. C'est que le département jazz et musique improvisée, situé au niveau – 2, est un véritable sous-sol de Babel...
 

Jeudi 6 mars

Épisode 4 : quand j'arrive sur le plateau 6 où Hervé Sélin est sensé professer, j'assiste en fait au concert d'un sextet. En retrait, ce pianiste venu du classique (et aujaurd'hui enseignant au sein du département jazz et musiques improvisées du Conservatoire national supérieur de Paris) observe la manœuvre, comme un chimiste contemple le déroulement d'une expérience étrange dont il attend de connaître les effets.
 

Vendredi 7 mars

Épisode 5 : Patrick Moutal a dû pousser quelques pianos pour dérouler son grand tapis au beau milieu du plateau 3. Et là, au 2e sous-sol du CNSMDP, assis dans la position yogique dite Gomukhasana, bref, les jambes savamment croisées et le sitar sur les genoux, ce professeur d'improvisation modale et de musique indienne invite les jazzmen à découvrir la meilleure façon d'aimer et de mourir.
 

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