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« C’est rassurant de se dire qu’avant la première année de médecine, on sait déjà comment cela fonctionne »

« C’est rassurant de se dire qu’avant la première année de médecine, on sait déjà comment cela fonctionne »
« C’est rassurant de se dire qu’avant la première année de médecine, on sait déjà comment cela fonctionne » © Antemed
Par Proposé par ANTEMED, publié le 24 avril 2019
4 min

Élève en classe de terminale S dans un lycée en banlieue parisienne, Judith M., 18 ans, suit la prépa Antémed en parallèle de sa terminale. Témoignage.

« Je rêve de devenir chirurgienne. En troisième, j’ai fait mon stage d’observation chez un chirurgien de la main, puis j’ai voulu y retourner une semaine tellement cela m'avait intéressée. Je me suis rendu compte que ce n’était pas juste aller au bloc opératoire qui me plaisait, mais aussi le contact avec les patients. Et puis, la chirurgie, c’est assez fascinant, on peut voir les résultats bénéfiques de son travail directement sur les patients !

C’est ma mère qui a entendu parler d’Antémed, via une de ses amies. Au départ, j’étais un peu réticente, je me suis dit que ça allait me rajouter du travail et que ce serait une contrainte de venir pendant le week-end. Puis, j’ai appris que plusieurs personnes de mon entourage allaient suivre cette prépa également. À la journée portes ouvertes, la présentation de l’école m’a plu, notamment par son côté accueillant et structuré.

L'important, c'est de progresser

Depuis la rentrée, je vais à Antémed tous les dimanches matin, pendant 4 heures. À chaque fois, on étudie deux matières, comme la biochimie, la biologie cellulaire ou la physique... Nous avons parfois des QCM à rendre pour la semaine suivante et des cours à apprendre. Une fois par mois, ce sont les concours blancs. Mais si on a des mauvaises notes sur un concours, ce n’est pas la fin du monde : l’important, c’est de progresser. Pendant les vacances scolaires d’octobre et de février, l’école nous a proposé des cours vidéo que nous pouvions visionner à notre rythme.

Au final, cela ne me prend pas tant de temps que ça. Je n’y passe pas plus de 2 heures par semaine en plus des cours, en étudiant une demi-heure tous les deux jours, et j’ai de bons résultats. Après, il n’y a pas de pression, on travaille pour soi et pas parce qu’on y est obligé !

Maintenant c’est devenu une habitude de me lever le dimanche matin. Et ça ne m’empêche pas de sortir le samedi soir ! En plus, dans ma classe, il y a 5 élèves de mon lycée, dont un très bon copain. Souvent on déjeune ensemble à la sortie des cours ; on peut aussi aller étudier en groupe. C’est une motivation en plus ! Et une fois les cours terminés, je peux sortir, aller faire du sport, etc. ça n’empiète pas tant que ça sur mes activités.

La prépa nous apporte de l'avance sur les autres

C’est rassurant de se dire qu’avant mon entrée en première année de médecine, je sais déjà comment cela fonctionne, je sais ce qu’on attend de moi, le type de QCM que je vais avoir. C’est sûr que cela nous apporte de l’avance sur les autres.

Je pense aussi suivre la prépa Antémed pendant la première année de médecine, car on sera vraiment bien cadrés. Et puis, je retrouverai les mêmes profs, c’est rassurant aussi. Mon objectif est d’être le mieux préparée possible pour réussir la première année de médecine ; à Antémed, les profs vont m’apporter un accompagnement bénéfique sur le plan scolaire et un vrai soutien moral. »

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