Description
Secteur | Fonction publique |
Niveau d’études minimal | Brevet |
Bac conseillé | Toutes séries |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Faible |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | De 1.480 € à 1.999 € |
Plus connu sous l’appellation de “gardien de prison”, voire “maton”, il est chargé de la surveillance des détenus dans les maisons centrales et les maisons d’arrêt. Il peut aussi participer à des actions de réinsertion (encadrement d’activités sportives, culturelles, etc.).
S’il est une figure d’autorité pour les détenus, il doit parvenir à tisser avec eux des liens plus subtils, basés notamment sur le respect et la confiance. Ce qui demande une bonne dose de psychologie…
La dégradation des conditions de détention dans les prisons françaises rend le quotidien des surveillants très difficile.
Une bonne forme physique et un parfait équilibre mental sont indispensables pour tenir le coup.
Ses compétences
Bon relationnel, rigueur, maîtrise de soi.
Sa formation
Un CAP, un BEP ou un diplôme national du brevet donne accès au concours de catégorie C. Il faut être âgé de 19 ans au minimum.
Une fois reçus, les lauréats suivent une formation rémunérée de 8 mois à l’École nationale d’administration pénitentiaire d’Agen (37), alternant formation théorique et stage pratique.
Après plusieurs années d’exercice, le surveillant peut évoluer vers des postes d’encadrement.