Description
Secteur | Fonction publique |
Niveau d’études minimal | Bac (1) |
Bac conseillé | Toutes séries |
Alternance | Non |
Sélectivité des études | Faible à moyenne |
Insertion professionnelle | Difficile |
Salaire débutant | De 1.480 € à 1.999 € |
Quand un chantier public est lancé (construction d’une route, extension d’un port, etc.), c’est lui qui assure le suivi technique des opérations.
Il organise et planifie le travail des entreprises, supervise l’avancée des travaux, contrôle le résultat final. Il peut également participer à la gestion et à l’exploitation de certaines infrastructures de transports, et veiller au respect des réglementations.
Rigoureux, organisé, il sait faire entendre sa voix (celle de l’État) chaque fois que cela est nécessaire. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir un très bon relationnel, pour coordonner le travail des différents intervenants. Placé sous l’autorité des ingénieurs des travaux publics de l’État, il est spécialisé dans l’un des quatre domaines suivants : routes et bases aériennes, voies navigables et ports maritimes, phares et balises, mécaniciens et électriciens. Dans la fonction publique territoriale, les contrôleurs territoriaux des travaux exercent sensiblement le même métier.
Ses compétences
Goût pour le travail technique, en équipe et en plein air.
Sa formation
Le concours (catégorie B) est accessible après le bac, mais beaucoup de candidats se présentent après un BTS ou un DUT. La formation dure ensuite une année avec plusieurs stages de courte durée.
(1) Hors période de formation.