Témoignage

En 2019, suivez Mehdi, en bac STMG : "Je suis plutôt confiant pour la suite"

Pour la rentrée 2019, Mehdi a décidé de repousser son entrée à la fac. Il envisage de partir à l'étranger.
Pour la rentrée 2019, Mehdi a décidé de repousser son entrée à la fac. Il envisage de partir à l'étranger. © Photo fournie par le témoin
Par Pauline Bluteau, publié le 23 mai 2019
3 min

TIMELINE, ÉPISODE 6. Pour le lycéen, les résultats sur Parcoursup sont la preuve que les bacheliers STMG peuvent accéder à n’importe quelle formation. Satisfait de ses réponses, Mehdi devrait valider ses vœux dans les prochains jours.

"Que des bonnes nouvelles", voilà comment Mehdi résume la procédure Parcoursup. Pour rappel, en avril 2019, le lycéen avait principalement sélectionné des licences de droit, ainsi que des doubles licences droit-philo et des CPGE (classes préparatoires aux grandes écoles). Mais son objectif était d’intégrer l’une de ces formations non pas cette année, mais à la rentrée 2020, après avoir effectué son année de césure.

Rassuré d’être sur liste d’attente

Dès l’ouverture de la phase d’admission, Mehdi a reçu trois propositions : une en CPGE, une en licence de droit et une autre en licence humanités. "Je suis très confiant pour la suite parce que je suis bien classé dans les autres licences en attente", estime le lycéen. Satisfait de ses réponses, Mehdi espère toujours recevoir une proposition en licence de droit-philo à la Sorbonne. "Certains bacs généraux sont moins bien classés que moi alors que je suis en STMG, c’est rassurant pour nous et cela montre que c’est possible."

Quant aux CPGE, quatre de ses vœux ont été refusés. Mais pour le lycéen, cette réponse est loin d’être une déception. "C’était un peu une volonté folle d’entrer en CPGE donc quand j’ai découvert les résultats, je n’étais pas déçu", affirme-t-il.

Le stress monte pour l’année de césure

Mais les réponses semblent avoir mis le doute à Mehdi concernant son année de césure. "Cela se présente mal : d’après l’agence qui me suit dans mes recherches, je suis trop jeune pour partir. Ce qui a aussi mis le doute à mes parents", raconte le lycéen. Alors qu’il devait partir à Londres à la rentrée comme jeune homme au pair, Mehdi envisage de contacter d’autres agences pour pouvoir partir aux États-Unis. "C’est stressant, je me pose beaucoup de questions mais je n’ai pas envie de revenir là-dessus, c’est mon choix."

Avant de s’envoler outre-Atlantique, le lycéen doit encore attendre de recevoir une proposition d’admission dans l’un de ses vœux. "On verra bien", conclut-il.

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