Secteur | Environnement |
Niveau d’études minimal | Bac+5 |
Bac conseillé | S, STI2D, STL |
Alternance | Oui |
Sélectivité des études | Forte |
Insertion professionnelle | Bonne |
Salaire débutant | De 2.000 à 2.500 € |
Ozone, monoxyde de carbone, azote… l’air que nous respirons est susceptible de contenir de multiples pollutions. La mission de cet ingénieur consiste à analyser les différents polluants enregistrés par les appareils de mesure, placés notamment dans les grandes villes.
Employé par des associations agréées de surveillance de l’air ou des organismes de recherche, il peut être amené à tirer la sonnette d’alarme quand les taux de pollution dépassent les seuils d’alerte qui sont fixés par les autorités.
Ses compétences
Analyser, prévenir, communiquer.
Sa formation
Un master en qualité chimique, chimie de la pollution (par exemple, le master professionnel AIR (atmosphère intérieure et extérieure) à l’université Paris-Diderot, à l’université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne et à l’AFI24 Courbevoie), une école d’ingénieurs spécialisée en chimie.