Témoignage

En 2019, suivez Sara, en bac ES : "J'ai choisi la licence de psycho plutôt que le DNMADE"

Sara a renoncé à son vœu en DNMADE pour valider définitivement sa proposition en licence de psycho.
Sara a renoncé à son vœu en DNMADE pour valider définitivement sa proposition en licence de psycho. © Photo fournie par le témoin
Par Pauline Bluteau, publié le 17 juillet 2019
3 min

TIMELINE, ÉPISODE 8. À quelques jours de la fin de la procédure principale sur Parcoursup, Sara a finalement pris la décision de confirmer son vœu en licence de psycho. Adieu le DNMADE. La lycéenne espère avoir fait le bon choix.

Tout juste bachelière, Sara a décidé de mettre fin à l’aventure Parcoursup en validant définitivement son vœu en licence de psychologie à Tours. Pourtant deuxième sur la liste d’attente du DNMADE (diplôme national des métiers d'art et du design) vers lequel elle souhaitait se diriger, la lycéenne en a eu assez de l’incertitude. "J’ai regardé le programme, encore et encore. J’ai discuté avec une étudiante en deuxième année de psycho qui m’a confortée dans l’envie d’intégrer cette licence", raconte-t-elle. Place aux vacances !

Un choix cornélien pour la lycéenne

Sara a donc fini par suivre l’avis de ses professeurs en choisissant l’université. Mais cela n’a pas été simple. "Il y a eu beaucoup de stress parce que je n’étais pas sûre de moi. Finalement, je suis contente", assure-t-elle. D’après la lycéenne, choisir son orientation n’a rien d’évident. "Même si on peut changer de voie, une année c’est important. On ne prend pas cela à la légère."

Ce sont finalement les démarches à entamer pour la rentrée qui ont accéléré la procédure. "Il fallait trouver un logement et faire l’inscription administrative. C’est ce qui m’a poussée à me décider." Sur Parcoursup, Sara a renoncé à son vœu en DNMADE où elle se trouvait encore en attente de place pour valider définitivement sa proposition en licence de psycho. "Pour l’instant, je ne regrette pas mais c’est aussi parce que je ne sais pas ce que je rate en DNMADE", affirme-t-elle.

Aujourd’hui, ce qui semble plus inquiéter Sara, c’est le niveau qu’elle devra acquérir à l’université. "Je n’ai pas trop de pression mais je sais que je vais devoir beaucoup travailler." Quant à son logement, un studio l’attend d’ores et déjà au sein d’une résidence CROUS (centre régional des oeuvres universitaires et scolaires). Vivement la rentrée !

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