
Graphiste web
De l’idée à sa mise en forme, le graphiste s’attache à rendre beau et efficace de multiples productions visuelles. Un métier décliné en plusieurs spécialités en fonction des techniques maîtrisées et des supports. Ses outils ? Crayon, souris, palette graphique, logiciels de retouche d’images…
On l'appelle aussi
Designer graphique • Infographiste • Maquettiste
Chiffre clé
Les questions fréquentes
Personnaliser un site de e-commerce, concevoir la maquette d’une affiche ou le logo d’un emballage ne fait pas appel aux mêmes règles graphiques. Pour autant, les savoir-faire sont similaires : exprimer la demande du commanditaire en image, adopter sa charte, intégrer les contraintes de son support. Sans oublier de s’intéresser à sa cible (les codes d’un ado fan de rap par exemple) et de s’inspirer des tendances. Dans tous les cas, ordinateur, palette graphique et logiciels de création sont ses outils de travail.
Selon son contexte d’exercice, le graphiste peut travailler sur un seul type de support ou intervenir sur différents médias et étapes de la réalisation (de l’idée à la mise en forme). Certaines techniques (illustration, infographie, animation, webdesign…) peuvent devenir une activité à part entière ou permettre à un généraliste de se démarquer.
Même si la polyvalence est la norme, les opportunités sont surtout du côté du web et du multimédia. Le graphiste exerce en agence (web, pub, communication), au service com d’une entreprise, au studio d’une rédaction ou d’un éditeur, souvent aussi comme indépendant (freelance) en recherche constante de nouveaux clients.
Selon son profil, ses premières réalisations et la qualité de son book, le salaire d’un graphiste junior dépasse rarement les 2.500 €. Avec de l’expérience, il peut atteindre 4.000 €. Le revenu des free-lance est assez aléatoire, surtout depuis la multiplication des sites de prestations à mini-prix.
Etudes conseillées
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